D'après une sculpture antique : femme drapée assise tenant une grappe de raisin - (Titre forgé)

Dessin de peintres, sculpteurs et plasticiens

D'après une sculpture antique : femme drapée assise tenant une grappe de raisin

(Titre forgé)

Meynier Charles En savoir plus

• Date de naissance1768
• Lieu de naissanceParis (France)
• Date de décès1832
• Lieu de décèsParis (France)
• Notice biographiquePremier grand prix de l'Académie royale en 1789. Professeur à l'Ecole de 1819 à sa mort en 1832 , en remplacement de Jean-Jacques Lagrenée ; remplacé par Méry-Joseph Blondel.
  Charles Meynier , élève du graveur Pierre-Philippe Choffard puis de Vincent, est inscrit à l’École comme le 12 mars 1782. Après son Prix, il est à Rome en 1789. Il revient à Paris et participe aux concours de 1793 (La France encourageant la science et les arts (Boulogne-Billancourt, Bibliothèque Marmottan). Au Salon de 1800, il présente des grisailles dans le style des statues antiques, La Muse Polymnie et la Muse Érato, Apollon, Diane, Mercure (ministère des Affaires Étrangères). Il donne de grandes peintures de propagande napoléonienne qui font maintenant partie des galeries historiques de Versailles (Les Drapeaux d’Innsbruck, 1808, L’Entrée dans Berlin, 1810, L’Empereur dans l’île de Lobau, 1812, portraits de Ney, du cardinal Fesh.En 1808-1810, il participe à la décoration de la sacristie de l'église de Saint-Denis "Dédicace de l'Eglise en présence de Charlemagne.
  En 1814, il présente La Sagesse, qui préserve l'Adolescence des traits de l'Amour et des charmes de la Volupté. La Restauration ne ralentit pas le rythme de ses commandes, pour le Louvre, la Bourse, l’asile Boulard à Saint-Mandé. Il participe à la décoration des monuments publics, donne les dessins des sculptures de l’arc de triomphe du Carrousel, de l’entrée monumentale des Tuileries. Il décore les plafonds du Louvre : La France protégeant les Arts (1819, salle Percier), Le Triomphe de la peinture française (1822, salle Duchâtel) ; Les Nymphes du Parthénope (Salle G. des Antiquités égyptiennes) ; La Terre recevant des empereurs Adrien et Justinien le code des lois romaines (1828, salle des Empereurs) ; Nymphes de Naples apportant leurs pénates (salle des petites antiquités en bronze) ; au plafond de l'escalier et de la salle qui conduisent au salon des tableaux, ils présentent les figures des trois arts du dessin, et l’Apothéose de Poussin, Le Sueur, Le Brun. Avec Abel de Pujol, il décore la grande salle de la Bourse de Paris (1826) d’une monochromie en bas-relief. Professeur à l’École royale à partir de 1819, il meurt victime de la grande épidémie du choléra de 1832. L’École possède un beau portrait au pastel de Charles Meynier par Mlle Capet (an VII, Salon de 1799).
• Fonction / RôlePeintre
• Fonction / RôleDessinateur
• Fonction / RôleElève Acad. royale peint. et sculpt.
• Fonction / RôleProf. Ecole des beaux-arts de Paris
• Référence bibliographiqueArchives 95, Ecole des Beaux-Arts
• Référence bibliographiqueBénézit, 1999, Dictionnaire
• Référence bibliographiqueAJ 52 0035 (professeurs)

Création

PM 2395

1

Pierre noire

Haut. en cm : 18,8

Larg. en cm : 13,5

Actuel

1987

Polakovits Mathias